Quasiment disparus depuis la crise des 2018, ou en tout cas sans observation depuis, les hippocampes reviennent dans l’étang. L’année 2022 confirme ainsi son caractère malheureusement exceptionnel. Avec une salinité proche des valeurs de la littérature scientifique des années 1950, atteignant plus de 30g/l en fin d’été. La bonne santé de l’étang a permis le développement des peuplements lagunaires, mais aussi l’incursion d’espèces plus marines, rougets, calamars et hippocampes dont un spécimen a été retrouvé récemment sur la plage du Jaï.
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